
Exposition dans le cadre de l’événement
Qui se souvient du génocide cambodgien ?
Cinquante ans après les Khmers rouges, à l’exception de quelques sites mémoriaux comme Choeung Ek, les traces du génocide sont peu visibles dans les paysages cambodgiens. Dès lors, comment un paysage qui a connu des crimes d’une grande ampleur peut-il offrir une visibilité de l’Histoire ? Comment l’art permet-il, après coup, de les révéler?